Rentrer à l'Université de sport de l'Australie n'a vraiment pas été une tâche facile! Oh que non! Tout d'abord, j'ai dû passer des semaines entière dans un gymnase à m'entraîner principalement pour mon cardio, je voulais paraître au meilleur de ma forme question d'enlever le plus de pression possible sur mes épaules. Je tenais vraiment à intégrer cet université en premier lieu parce que le ski nautique c'est ma passion depuis tout petit, mais aussi parce que la femme de ma vie étudie aussi entre ces quatre mur, c'était le meilleur moyen dans apprendre plus sur elle! Enfin, la section "démontrer son tallent au juge" c'est très bien passé pour ma part, je les ai bien fait rire et ils ont vu mon potentiel sur-développé. La partie motivation à été étrangement la plus dur, j'étais assez intimidé par leur prestige et je me refusais de sortir le même petit discours que tout le monde devait sortir, du genre: Le ski nautique c'est ma vie, j'en fais depuis que je suis né, etc. Vous voyez le genre? En tout cas, je crois que j'ai réussi à me démarqué après quelques gouttes de sueurs qui probablement du apparaître sur mon front.

Finalement, la dernière épreuve a franchement été la plus facile! Je ne sais pas si j'ai eu de la chance ou bien c'est simplement le gars qui était nul, mais je l'ai largement dépassé. Ma technique était bien mieux perfectionné que lui et en plus il a du tomber trois fois alors que moi j'ai seulement perdu l'équilibre une fois. C'était juste trop facile! C'était presque décevant...

« C’est une fille! Oh non c’est un… un garçon…!», s’était exclamé puis éteint le docteur.

Eh oui, vous avez bien compris, j’ai une petite quéquette et c'est pourquoi mon engin avait échappé au docteur lors de ma naissance, trop petit! Mais bon, il faut bien dire qu’avec le temps j’ai appris à contre-attaquer les commentaires des jeunes qui se moquaient de moi dans les vestiaires!

Lors de ma naissance, il y avait 6 944 245 401 humains sur la terre. Un millième de seconde plus tard, il y en avait 6 944 245 402, c’était moi, William Enzo Atwoods. J’ai vu le jour le 4 juillet à Los Angeles. Bien entendu, la plus grande partie de ma vie, c'est-à-dire ma jeunesse car je n’ai que 19 ans, s’est déroulée là-bas et je dois vous avouer que je me plais bien plus en Australie, où j'ai rencontrai ma Bella, Pandora Sima Symens. Ma vie n’a rien de très excitante… J’ai été heureux, je le suis toujours. Mon père m’a appris les bonnes règles de la vie. Je dis bien les « bonnes » règles, parce qu’il y en a des mauvaises, par exemple : qui n’a jamais mangé son dessert avant son repas? Ou, qui n’a jamais triché à un examen en écrivant quelques brefs mots sur son efface? En tout cas, mes parents, lorsqu’ils étaient tous deux en vie, avaient bien compris que cet apprentissage me passerait entre les deux oreilles. C’est pourquoi ils m’ont enseigné la règle d'or, qui est : « À vouloir supprimer tous les risques, c'est la vie elle-même qu'on réduit à rien ». À ce moment, ces quelques mots se sont gravés dans ma mémoire, ils y sont toujours, un peu poussiéreux, mais je vous assure qu’ils sont présents. Par ailleurs, mon père m’a beaucoup appris de choses en ce qui concerne le domaine du sport, il s’est d’ailleurs trouvé un poste de professeur dans une université de sport en Australie où j’étudie actuellement. Heureusement, contrairement à une grande majorité d’individus qui se seraient plaints que leur jeunesse soit gâchée à cause que leur père est l’un de leurs profs, je trouve ça plutôt cool! En faite, ce qui est plutôt « cool », c’est que je suis l’un des seuls à savoir qu’il est un policier caché sous le titre de professeur, il surveille les jeunes questions qu’ils ne se dopent pas sous la pression de la compétition. De plus, moi et lui on entretient une relation du tonnerre! On se dit tout, on cuisine ensemble, on fait même des batailles d’oreiller! Bref, c’est la folie totale entre nous deux et j’adore vraiment ça! Il est tellement doué comme père qu’il réussit quasiment à remplacer l’ancien rôle qu’avait ma mère dans notre famille… Parce que oui, je crois l’avoir laissé sous-entendre plutôt, ma mère est décédée dans un accident de voiture tout bête alors qu’elle revenait du travail. Je n’avais que 9 ans à cette époque, c’est assez cruel de l’avoir fait partir à ce moment, j’étais tout jeune et je ne connaissais encore rien à la vie…Dieu, personne qui est supposément censée être celui qui donne la vie et enlève la vie selon une bande de religieux, aurait pu me laisser le temps de la connaître davantage, ça devrait être écrit dans la bible qu’une mère ne peut mourir avant son fils..!

Enfin, comme je disais, je suis un gars compétitif, sportif et notamment passionné, qui a commencé à apprendre à faire du ski nautique avant même d’avoir fait ses premiers pas. Le ski nautique, c’est ce qui va me faire gagner ma vie, c’est ce que je veux et c’est ce que mon père veut pour moi, le bonheur. J’adore les éléments de l’eau et du vent, surfer sur l’eau tout en sentant l’air se fracasser contre mon visage, c’est une magnifique sensation de liberté! Tu as l’impression de défier les lois de la nature. C'est pourquoi c'est primordialement ma passion qui m'a amené à cette Université sportive en Australie. C'est à l'aide de cet école que je pourrai réaliser mon rêve et ainsi devenir la personne que j'ai toujours rêvé d'être.